– Le premier soutien est celui de la Région Île-de-France à travers un Appel à Projet réservé aux projets citoyens pour la phase d’investissement. La coopérative dépose un dossier de candidature pour chaque projet de centrale photovoltaïque mature après validation des études de faisabilité (études prises en charge jusqu’à 80%). La Région peut subventionner un projet jusqu’à 50% du montant total d’investissement. – Les communes peuvent notamment apporter un soutien technique et financier pour les projets sur des toits municipaux, ce qui a été le cas aux Lilas,
– L’épargne citoyenne constitue environ 15% du plan de financement, ce qui a permis d’obtenir un emprunt bancaire auprès de la NEF (30% du montant total).
– Une subvention accordée par la Fondation de France pour trois ans permet de financer le salaire de notre chargée de développement à temps partiel. – L’ADEME et la MAIF ont apporté chacune une aide de 1 000 € – La vente de l’électricité produite : après la mise en service, nous réalisons un chiffre d’affaire lié à la vente de l’électricité. En fonction du modèle choisi (vente totale ou autoconsommation, appel à subvention ou non), nous bénéficions du tarif d’achat réglementé de l’État pour vendre l’électricité, ce qui est le cas pour nos 2 premières centrales.
Depuis l’Arrêté S21 du 06/10/21, qui ne permet plus de cumuler les subventions et le bénéfice des tarifs réglementés, nous sommes contraints de réaliser des projets en autoconsommation et de passer directement avec le client final un contrat de location et de maintenance. Ceci ouvre une nouvelle réflexion sur notre modèle économique.